Volvo et la voiture qui se gare toute seule
De retour de Göteborg, où Volvo présentait ses dernières technologies, je vais vous parler de la voiture qui se gare toute seule. Il ne s'agit pas, vous l'aurez deviné, du système semi-automatique qui calcule l'angle idéal du créneau et tourne tout seul le volant, pendant que vous gérez les pédales. Ca, c'est déjà le passé dans la grande marche en avant vers l'automatisme. Non, le système présenté sur un prototype de la marque suédoise est capable de trouver une place de parking et de faire en sorte de s'y garer, sans personne au volant.
Voici une petite vidéo pour fixer les idées :
L'automatisation à basse vitesse est l'une des premières applications de ce que l'on appelle la conduite autonome.
Concrètement, comme on a pu le voir dans la vidéo, le conducteur se sert d'une application de son téléphone mobile pour activer le stationnement autonome, puis descend de voiture.
A l'aide de capteurs (caméra, radars, mais aussi un GPS plus précis et sans doute à terme un lidar), le véhicule repère une place libre et s'y dirige. Il est capable de "voir" ce qui se passe autour. Par exemple, il va s'arrêter si un véhicule sort devant lui en marche arrière.
Autre cas de figure : le piéton qui traverse. Volvo, qui couple le freinage automatique à la détection de ce type d'usagers vulnérables, sait bien sûr gérer ce genre de situation. La vitesse et le freinage sont adaptés à une évolution en douceur de la voiture dans l'environnement du parking.
Vu de l'intérieur, voici ce que ça donne :
Le stationnement autonome est encore en cours de développement. Mais, il fera sans doute sans apparition dans les 5 ans qui viennent.
Volvo entend prendre le leadership en matière de conduite autonome. Un domaine dans lequel il a une certaine avance, grâce au projet européen SARTRE (Safe Road Trains for the Environment), qui lui a permis de faire rouler des véhicules en convois automatisés. Les voitures étaient capables de circuler à 90 km/h, parfois avec une distance entre véhicules n'excédant pas 4 mètres.
Demain, je reviendrai sur la direction autonome. Un autre aspect spectaculaire de la sécurité 360 vue par Volvo.
Voici une petite vidéo pour fixer les idées :
L'automatisation à basse vitesse est l'une des premières applications de ce que l'on appelle la conduite autonome.
Concrètement, comme on a pu le voir dans la vidéo, le conducteur se sert d'une application de son téléphone mobile pour activer le stationnement autonome, puis descend de voiture.
A l'aide de capteurs (caméra, radars, mais aussi un GPS plus précis et sans doute à terme un lidar), le véhicule repère une place libre et s'y dirige. Il est capable de "voir" ce qui se passe autour. Par exemple, il va s'arrêter si un véhicule sort devant lui en marche arrière.
Autre cas de figure : le piéton qui traverse. Volvo, qui couple le freinage automatique à la détection de ce type d'usagers vulnérables, sait bien sûr gérer ce genre de situation. La vitesse et le freinage sont adaptés à une évolution en douceur de la voiture dans l'environnement du parking.
Vu de l'intérieur, voici ce que ça donne :
Le stationnement autonome est encore en cours de développement. Mais, il fera sans doute sans apparition dans les 5 ans qui viennent.
Volvo entend prendre le leadership en matière de conduite autonome. Un domaine dans lequel il a une certaine avance, grâce au projet européen SARTRE (Safe Road Trains for the Environment), qui lui a permis de faire rouler des véhicules en convois automatisés. Les voitures étaient capables de circuler à 90 km/h, parfois avec une distance entre véhicules n'excédant pas 4 mètres.
Demain, je reviendrai sur la direction autonome. Un autre aspect spectaculaire de la sécurité 360 vue par Volvo.
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